zì 
adesso è dietro e dopo
qui è prima e davanti
disteso su un filo tracciato nel tempo
mi equilibrio
sulle/tra
le paure e i sogni
rinversato con la testa
sullo spigolo del nulla, del tutto
e di me stesso (zì)
l’homme meurt
Lire entre les traits du pinceau en écartant la vie et la mort
ou la tète de l’homme
deviens animal à la bouche hurlant sang.
Rouge comme les lèvres de la femme aime…
Sont elles les vestiges d’une phagocytation inaccomplie?
Refusant le role de déesse,
elle cour laissant derrière elle la carcasse d’os
la chaire , digèree n’est plus
degenere par l’éloignement,
dans l’intimité de la moelle devient venin assourdissant
rien ne pourra taire les cris des hommes repusse par les dieux
4NJ
au-delà des océans
ton expire, me coupe le soufle
L’air vibre des notes
2003/2006 – Paolo Rudelli

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